Je rencontre de temps en temps pour mon plus grand plaisir des musiciens qui s’intéressent à la hifi. Ceux sont des auditeurs très exigeants sur les timbres et l’interprétation. La technique les fait fuir, seule la musique compte.

Le dernier en date est organiste dans une très belle cathédrale française.

Il possède deux sources sur son système, un lecteur de CD et un ordinateur. L’objet de notre rencontre était l’importance de la liaison USB. C’est un disciple de « Saint Thomas » non pas parce qu’il passe une grande de sa vie dans les cathédrales mais il ne croit que ce qu’il entend.

Lors d’un de ses déplacements professionnels, il est passé par mon auditorium avec deux câbles USB que nous identifierons par les lettres A et B. Tous les deux de marque connue. Nous les avons comparés avec l’USB Legato.

Bien évidemment, il est venu avec ses outils :

J.S.Bach Toccata adagio et fugue BWV 564

Jacques van Oortmerssen

Challenge classics CC72080

Johann Christoph Bach

Aria und Variationen a-moll

Ülrich Böhme Thomaskirche Leipzig

Querstand

G.Mahler

Symphonie 3/5/6

Wiener Philarmoniker DG Pierre Boulez

I.Stravinsky

Le Sacre Cleveland Orchestra / Chailly

Decca 473 731-2

Orgue St Omer transcriptions 

Sophie Retaux 

Chostakovitch , Prokofiev à l’orgue Cavaillé-coll de St Omer (1857)

Après des écoutes attentives des différents câbles, le résultat est sans appel.

Câble A : on ne reconnaît pas l’orgue (timbres et taille erronées), on ne reconnaît pas le lieu (manque de définition), on ne reconnaît pas l’interprétation (manque de legato).

Câble B : on ne reconnaît pas l’orgue (timbres erronés mais taille correcte), on reconnais le lieu, on ne reconnaît pas l’interprétation (manque de legato).

Câble LEGATO Referenza Superiore : On identifie parfaitement l’orgue, le lieu et l’interprétation.

Conclusion : Pour voir si les câbles LEGATO répondent à vos attentes, c’est très simple, il faut comparer.