Le registre grave fascine les audiophiles. L’attrait de ce registre viendrait du fait que nous l’entendons avec nos oreilles et en même temps le ressentons avec notre corps.
Certains instruments sont systématiquement utilisés pour tester les systèmes hi-fi. Nous pouvons citer la batterie avec sa caisse claire, ses toms et sa grosse caisse. La contrebasse jouée en cordes frottées ou pincées est aussi très attendue. Enfin nous pouvons rajouter la guitare basse.
Le paradoxe est qu’au concert en acoustique, ces instruments n’ont pas cette énergie que l’on recherche sur nos systèmes. Y aurait-il une autre raison que les bienfaits de la « gravothérapie » pousse à cette recherche ?